Je regardais le plafond de ma cabine … chiant … très chiant, trop chiant, j’en ai marre de rester enfermer, je tourne et me retourne dans mon lit ! Bon ok j’ai compris l’insomnie à gagner, je suis vaincu. Je me lève et enfile ma tenue y compris mes deux gants noir, me recoiffe histoire de faire genre : Les oreillers ne peuvent rien contre moi. Je prends aussi ma lance qui dort dans le lit avec moi et la replace sur mon dos. Aller il est plus de minuit et je ne dors pas ! C’est parti pour l’aventure !

J’ouvre la porte de ma cabine situé juste en dessous de la bar, où ma navigatrice s’attelle à dormir, les seins posé sur la bar … ils sont assez gros pour ne pas nous faire changer de cap. L’air nocturne m’assailli tout de suite, je frémi un peu de prime abord, puis, je profite de cette vague de fraîcheur qui semble purifier mon esprit et me remettre les idées en place. Je scrute le pont de mon bateau, seul la lumière de la lune astre dominant pleinement le ciel cette nuit l’éclaire. C’est agréable je laisse les embruns et le son des vague me bercer jusqu’à ce que j’aperçoive une personne assis en tailleur sur la proue. Je ne mets pas longtemps à le reconnaître, torse nu, les cheveux qui se balance doucement dans la brise qui balaye mon navire. C’est Ciel mon météorologue attitré ! C’est grâce à lui qu’on a évité … ou créer beaucoup de tempêtes. Je souri en le voyant et tout en me dirigeant vers lui a pas de loup me viens une idée, une superbe idée … j’avais perdu contre l’insomnie et j’allais me venger à présent !

Je suis maintenant a seulement quelque pas de lui, moi aussi sur la proue, il regarde dans le vide, perdu dans ses pensées, je me demande bien ce qu’il se passe en ce moment dans sa tête. Il a toujours été quelqu’un de mystérieux, je brûle d’envie de savoir à quoi il peut bien rêver, oui je sais la curiosité tue le chat, espérons qu’elle ne fait pas de même pour les capitaines pirates. Je pose ma main sur son épaule et il se retourne un peu surpris, je lui fais un grand sourire.

-Hoy Ciel-kun ! Décidément le sommeil ne veut pas de nous ce soir !

Toujours souriant je m’assois à côté de lui et regarde la mer en face de moi, cette vaste étendue d’eau encore inconnu. J’ai beau avoir le pouvoir de me téléporter, je ne peux pas aller dans les lieux que je n’ai encore jamais visité … voilà pourquoi j’aime voyager je brûle d’envie de connaitre ce qui se trouve au bout, le prochain lieu où nous allons arriver. Je me retourne vers mon ami et souri encore une fois, un sourire plus carnacié cette fois-ci comme un lion près à se battre. Je pose ma main sur sa jambe et nous disparaissons tous les deux pour arriver sur une île que j’ai choisi parfaitement au hasard. Une fois arrivé je me mets à donner une explication à mon météorologue complètement perdu.

-J’ai eu une idée, entrainons nous un peu ! Et à chaque fois que quelqu’un se retrouve en mauvaise position il devra parler d’un passage de sa vie à l’autre ! Près ?!

Bon et bien mon ami est près pour un combat sous le feu des étoiles … enfin des étoiles, plutôt d’un orage shooté à la testostérone made in Ciel. J’ai l’habitude de le voir faire ce genre de chose, c’est assez impressionnant et même super cool en fait ! Mais pas bon pour moi pour l’instant, je sais très bien qu’un éclair c’est mortel, ou un truc dans le genre et il y en a plein partout qui tombe, comme si la haut c’était la fête chez Jacky. Voilà en quoi consiste la dangerosité du pouvoir de mon météorologue il couvre une grande surface et possède une grande puissance. J’ai dégainé ma lance comme lui à dégainer ses deux épées, la tension est à son comble et ce n’est pas à cause de la foudre que je dis cela. Je ferme les yeux et éveiller mon Haki de l’observation, je peux sentir l’homme devant moi comme une lumière qui s’allume dans mon esprit. Je peux aussi sentir les dangers présents sur l’île où nous nous trouvons. J’aime utiliser ce haki, c’est comme si un tout nouveau monde s’ouvrait à vous. Un monde complétement nouveau ou tout apparait beaucoup plus clairement, certain disent qu’il faut voir avec son cœur et bien je trouve que cette expression ce rapproche parfaitement bien de ce que ce passe en ce moment. Chaque éclair qui tombe des nuages qui domine les hauteurs s’allume aussi comme un voyant dans ma tête.


Je dois réfléchir, mon ennemi ne sera pas facile à vaincre. Je ne peux pas juste foncé dans le tat comme je fais habituellement. Je repense à mes cours avec mon maître qui ma enseigner l’art du combat à la lance. Lorsque ton ennemi ce protège, il faut le pousser à sortir de ces gons et il ferra forcement une erreur. Oui c’est ça, je me calme et je respire doucement, je compte les seconde sur mes battement de cœurs …1 …2 …3…4.

Puis je disparais. Je rouvre les yeux et me retrouve au-dessus de la masse nuage, je peux a nouveaux contempler les étoiles. Je recommence et reste en l’air, je monte juste plus haut encore et plus haut encore. Je m’arrête seulement lorsque que je commence à avoir du mal a respiré. Mais maintenant tout ce qui monte doit redescendre. Je ferme les yeux et je tombe tête en avant. Je file comme une flèche attiré par les lois de ce maudit newton. Plus je tombe plus je prends de la vitesse puis dans ma tête mon haki de l’observation s’affole. J’entre dans le nuage créé plus tôt par Ciel. Je sens les éclaire et je me téléporte pour les évités. Chaqu’une des que mon haki me préviens. Mon cœur bat la chamade, une seule petite erreur et je meurs. Si je me trompe, je suis fichu, mais j’aime ça, oui j’aime cette vibration du combat ce rugissement intérieure qui me pousse à risquer ma vie. Ah et je vais vous apprendre quelque chose ! Quand je me téléporte, je garde ma vitesse initial ce qui veux dire que avec ma chute je vais à une vitesse folle et oui ! Coucou Ciel ! En sortant du nuage je me suis téléporté pile au-dessus de lui. Peu de gens s’attende à ce qu’on les attaque de cette angle là, mais c’est une des particularités de mon pouvoir, je peux facilement viser les angles morts. Il est temps de déclencher mon attaque maintenant !

-Thousand sounds of rain !

Et j’abat une pluie de coups de lance en direction de mon adversaire sur qui je tombe toujours, le plus de coup possible en une seul seconde combiné à la vitesse de ma chute et à son effet de surprise, une fois cela, fait je me téléporte encore, sans même réfléchir par simple habitude, hors de porter du nuage de mon adversaire.

-Tu va payer pour ce nuage, on peu pas voir les étoiles, sa me met en rage.

Bingo ! Mon attaque avait porté ses fruits et mon adversaire ce retrouvait à terre avec pas mal de blessures plutôt grave. Lors de mes précèdent combats j'avais déjà vu des mecs passer ad patres pour moins que ça ! J'admire la résistance de mon météorologue, je n'avais pas retenu mes coups une seul seconde. J'avais vraiment l'intention de la tuer ! Dans un combat si on n'a pas l'intention de tuer son adversaire alors autant renoncer tout de suite et devenir prêtre. Quoi si jamais j'avais tuer Ciel-kun avec mon attaque ? Et bien cela aurai voulu dire qu'il n'était pas digne de faire parti de l'équipage que j'ai regroupé tout simplement. La plupart des personnes de mon équipages ont des pouvoirs spéciaux destructeurs et un tempérament assez peu contrôlable. C'est pour ça que je les aient choisit. Je préfère les garder avec moi pour protéger les autres d'eux. Enfin c'est ce que je pensais au départ. Puis a force de passer du temps avec eux, manger, dormir, ce battre ensemble je me suis mis à les apprécier de plus en plus. A les considérer comme mes amis, une famille, mes nakama.

Je souri à mon ami à terre et couvert de sang, sans même remarquer que mes cheveux commençais à monté en l'air à cause de l'électricité qui devenait maître de l'atmosphère tout autour de nous. Ma lance était toujours sortie et prête à l'action, j'attendais qu'il ce relève et que l'on reprenne le combat. Oh et il ce devait de me raconté une partie de sa vie ! C'était le deal que nous avions conclus avant de commencer à nous battre. J'allais m'approcher pour l'aider à ce relever quand soudains; un énorme flash de lumière m'éblouit. Une fois que mes yeux eurent retrouver la capacité de voir le spectacle que m'offrais Ciel fut terrifiant. Comme si toute la foudre présente sur l'île tout à l'heure avait décider d'achever leur maître pour avoir finit dans cette état. J'aurai pu croire à un nouveau tour, mais non on pouvait voir sur le visage de l'ange qu'il souffrait. Il venait de perdre le contrôle de son fruit. C'est le problème quand on possède un pouvoir immense, si on est pas au top de ça forme on prend le risque de le voir ce retourner contre nous et de ce détruire sois même. C'est l'utilisateur qui dois dirigé le pouvoir et pas l'inverse sinon on ce fait dévorer par sa propre puissance en un instant et c'était parfaitement l'illustration de ce qui était entrain d'arriver à mon ami. Mon sang ne fit d'ailleurs qu'un tour. Je devais le sauver, chaque cellules de mon corps me hurlait cette phrase en ce moment même. Il faisait partie de mes nakama alors je le protégerai même si c'était à moi d'endurer sa douleur.

-Ciel-kun !

Sans même réfléchir je tendit la main pour attraper la sienne. Le choc ne ce fit pas attendre, je sentis le courant dans chaque partit de mon corps, comme si du magma en fusion avait remplacé le sang dans mes veines. Je partageai sa douleur. Il fallait impérativement que j'arrête ce truc ... mais de quel façon ? Alors que mon cerveau était sur le point de griller, l'idée me vint je planta ma lance dans le sol, le plus profond et le plus fort possible. Ce fut difficile, l'électricité faisait ce contracter mes muscles en plus de la douleur qu'elle nous infligeaient. Malgré tout je réussi, une fois la lance dans le sol, je senti le courant changer de sans à l'intérieurs de moi pour ce diriger dans les profondeurs. J'avais utilisé mon arme comme une prise de terre. Je sentais tout le pouvoir du fruit de Ciel passer à l'intérieur. Toute cette énergie qu'il avait invoqué tout à l'heure me passait au travers. Puis ce fut enfin finit. Le calme ... mais toujours la douleur. Je m'écroulai, les genoux à terre, une main sur ma lance pour ne pas m'écrouler tout court et l'autre tenant toujours la main du skypéen. J’espérai que ses blessure n'était pas trop grave. Je serai en état de me téléporter sur le bateau avec lui, mais il restait toujours la possibilité que lui n'y survive pas. Je devais d'abord vérifier s'il était conscient.

-Hoy Ciel-kun ... Ce coup la c'était bien joué ... tu ma littéralement foudroyer. Si tes conscient dit tu dois me raconter une partie de ton histoire, et je pense que tu a le droit à ce que je te raconte la mienne aussi.

Franchement je pense que je devais être un sale con dans mon ancienne vie pour avoir un karma aussi pourri que ça dans cette vie la ! Non seulement je m'étais pris un coup du tonnerre ( sans jeu de mot foireux ) en essayant d'aider mon météorologue, mais en plus de cela il allait parfaitement bien. Bon j'avoue que j'étais content qu'il ce sente en pleine santé, mais si je n'avais pas été obligé de joué les paratonnerre j'aurai d'autant plus apprécié. J'avais le souffle cours et je sentais encore mes muscles ce contracter tout seuls, surtout mon coeur. J'avais l'impression qu'il allait être éjecter de ma poitrine et je n'entendais plus que ces martèlement à l'intérieure de mon crane. Je fermais les yeux et me concentrais sur un seul point dans mon esprit, un point blanc minuscule dans tout le chaos qui régnait en ce moment dans mon corps. Puis la paix et le silence m'envahir ... mon rythme cardiaque revenait peu à peu à la normal, je me sentait respirer à nouveau normalement. Je pouvais continuer de combattre mais j'avais manger. J'étais toujours au sol. Voila qui ne m'arrivait pas souvent. Ciel lui était debout parfaitement intact et il souriant même. Est-ce que cela venait de son fuit ? Il y a de forte change. Les fruits du démons ont toujours été des artefacts qui donnait à leur utilisateurs des pouvoirs très spéciaux étant moi même un possesseur de fruit je peu le confirmer parfaitement.

-Et bah si je m’attendais à ça ...

Je levai les yeux vers mon météorologue et répondit quand même à son sourire par le même sourire égale. Même si nous étions entrain de nous battre nous étions toujours des amis qui ce protégeait l'un l'autre quoi qu'il arrive. Ouais que mon nakama est produit lui même ce phénomène ou pas cela m'était totalement égale. Je lui pris la main ... et la retira tout de suite ! Un immense choc électrique m'avait parcouru le bras. Comme quand je l'avais sauver.

-C'est bon Ciel-kun j'ai eu ma dose niveau courant qui passe aujourd'hui ...

Puis il ce passa quelque chose de génial, surtout pour mon adversaire en faite. Beaucoup moins pour moi ! Il était visiblement devenu un logia et au vu du choc que je venais de ma prendre, son élément était la foudre. Je me relevai alors seul m'aidant de ma lance. S'il croyais que j'allait me laisser me faire vaincre de cette façon il ce trompait. Ouais les logia sont du genre du a vaincre, mais je tenait le solution pour le vaincre lui et en plus c'était en le sauvant que je l'avait appris. Chouette heureusement que j'ai trouver cette idée. Je n'aurai pas aimer révéler moi aussi la face caché de mon pouvoir à ce moment la de la partie. Bon je vous explique ! C'est un logia de type foudre apparemment et qu'est ce que crains la foudre ?! La terre ! Bravo ceux qui ont juste gagne un cookies.

-Earth Breakers !

Je me téléporta un peu à distance de Ciel, quelque que mettre en arrière et je frappa de toute mes force le sol avec ma lance projetant d'énorme rocher en direction de mon adversaire. C'était jolie tout cela, mais ce n'était que le moment diversion de mon attaque. Profitant qu'il sois aveugler par les rochers et diverses cailloux qui lui tombait dessus j'en profita pour le relier à la terre ! Et oui la même chose que j'avais fait tout à l'heure avec ma lance quand la foudre nous est tombée dessus. Plantant le bout de ma lance dans le sol et l'autre dans le dos de Ciel. Si j'avais donné un coup direct mon arme serai passer au travers et j'aurai pris un autre coup de jus, mais la le sol avait pris l'énergie ce qui allait me permettre de le frapper. Je repris en vitesse ma lance et frappe mon ami. Comme je l'avait espéré mon coup l'avait toucher et il partie rencontrer le flan d'une falaise situé non loin. Je lui dit avec le sourire.

-1 à 1 ... on continu ?

La choc, le courant qui passe, la stupeur et je me laisse tomber, sur le choc, j'aurai pu tenir debout, mais je préféré tomber. Allonger sur le sol, je regarde le ciel et non plus Ciel. Je m'offre une pause dans ce combat, un repos dans l'ouragan. Dans un percer à l'intérieure des nuage je peu voir les étoiles au dessus de moi. Ça me fait sourire. Je repense à mon maître cet homme habillé en noir avec ses petites lunettes rondes et toujours un livre à la main. Un jour il ma dit une chose, une seul phrase. L'histoire des hommes est comparable à ces étoiles la haut. Une fois toute réuni elles forme l'univers et bien a l'image de ces étoiles les histoires de chaque personne, une fois réunis forme le monde dans le quel nous vivons. Je me souviens ne pas avoir compris cette phrase, mais maintenant j'en connais la signification. Tout le monde est important et brille à sa façon ... mais moi ... je serai différent. Oui je veux être l'étoile qui brillera le plus et qui éclairera tout l'univers ! Je me relève et disparaît pour réapparaître juste en face de Ciel, le regardant dans les yeux avec un immense sourire et une volonté brûlante. Puis je prend ma lance et donne un coup d'estoc droit devant moi.

-Shougeki !

Une immense onde de choc file droit sur Ciel avec de disparaître, moi caché derrière cette onde de choc, j'arme ma lance et fait mine de abattre sur lui puis disparaît à nouveau pour laisser place à l'onde que mon adversaire ce prend en pleine figure. Voila qui devrait faire assez mal je pense ! Je lui faisait payer pour le coup qu'il m'avait porter tout à l'heure. Oui voila ce qu'était mon véritable pouvoir je ne peu pas téléporter que ma petite personne, mais aussi tout ce que je touche y compris l'énergie donc si je le voulais je pourrai téléporter Ciel au fond de l'océan, mais ce n'est pas quelque chose que j'utiliserai. Maintenant il est temps de passer au choses sérieuse. Je me téléporte à nouveau en masse tout autour de mon ami changeant de positions à le seconde créant l’illusion d'optique d'avoir plusieurs Dooko en face de lui.

-Le combat viens juste de vraiment commencer.

J'étais vraiment fier de ma duplication, mais je dois avouer que je fut frustré de voir que Ciel pouvait faire la même chose. Il y avait donc sur cette petite île, un nombre exact de 15 Dooko et 15 Ciel. Je crois que tout membre d'équipage qui assisterai à ce fuirai en courant de peur que l'on sois tous vrai. Moi je me contente de me téléporter à grande vitesse tout autour de lui. Mon adversaire ne pouvait pas utiliser la même technique que moi ... je les regardais attentivement, mon regard les sondant comme au plus profond d'eux même. Hum ... je pense que Ciel n'est aucun d'entre eux ... mais qu'ils sont tous une partie du pouvoir de son pouvoir, il sont donc tous un peu lui et complètement réel. Un grand sourire ce forma sur mon visage. J'aimais vraiment ce combat, je fremissai et ma jambe tremblait d’excitation. J'avais franchement envie de le fracasser. L'amour du combat ce faisait de plus en plus grande en moi. Pourtant je fermais les yeux et essaya de me calmer. J'avais failli utiliser mon haki des rois, pour tous les souffler et donc me révéler la position de Ciel, mais finalement c'était une très mauvaise idée. C'était un entrainement après tout il fallait que je le pousse à combattre et à utiliser diverses techniques ... moi je savais déjà la quelle j'allait pouvoir utiliser pour le battre. Mes yeux était toujours fermer et un sourire éclairai toujours mon visage.

-Si tu est près alors j'arrive.

Ensuite tout ce passa très vite, Ciel ce déplace peut-être a la même vitesse que la foudre, mais moi je me déplace à la vitesse de la pensé humaine, ce qui n'est pas négligeable. Je me téléportais devant le premier Ciel, posa ma main sur lui et le téléportai avec moi jusqu'au second Ciel et ainsi de suite les téléportant tous en un seul. Voila le véritable météorologue était la, devant moi, mais ce n'était pas ici la fin de mon attaque. l'attrapant avec moi, supportant le courant qui passait à l'intérieure de mon corps à ce moment la je me téléporta à nouveau avec lui. Pas très loin, à seulement quelque mètres en arrière. Je voyais bien que ce dernier ce demandait à quoi pouvait bien me servir ce mouvement, alors dans un sourire je me décida à lui répondre avant de mettre mon plan en application.

-Tu sais, il y a quelque chose qui rend les utilisateurs de fruit du démon très faibles, et c'est encore plus vrai pour les utilisateur de logia comme toi ... alors dit bonjour à madame l'eau de mer.

Ce plan était vraiment risquer, non en faite complètement fou, presque du suicide, mais je pouvais par la même occasion tester mes limites en terme de résistance dans un combat. Sans attendre je serrais Ciel dans mes bras et senti immédiatement la morsure de la foudre transpercer mon corps, comme un serpent insidieux qui aurai eu envie de parcourir mon corps jusqu’à le réduire en morceaux. Oui c'est ça que j'essayais de saisir. Ce n'était pas mon adversaire à proprement parler, mais toute son énergie, sa puissance. Ce qui a fait de lui un Logia. Je devais arriver à trouver ça, alors que l'électricité vrillait, mes neurones, mes nerfs et mes muscles. Peu à peu la douleur m’envahissais complément. Mes récepteurs étaient tellement saturé de douleur que je ne ressentait plus rien et que je manqua de m'évanouir, pourtant je venais de le trouver. Comme un immense coeur de foudre. Le pouvoir de Ciel. C'est la que je me servit de mes dernière force pour utiliser mon propre pouvoir, téléportant toute l'énergie de Ciel à l'intérieure de la mer dans une grande explosion qui fut étouffé par l'eau. Un immense bruit, puis de l'eau soulevé par l'explosion qui tombe. De l'eau salée, je la sens affaiblir encore mon pouvoir alors que je suis toujours debout, le corps de Ciel redevenu tangible toujours dans mes bras. Du sang coule dans ma bouche l'emplissant d'un gout métallique. Je sens le brûlé et de la fumer s’échappe de mes habits et de mes cheveux. Je suis vraiment en mauvais état. Je restais debout, mais je n'allait pas pouvoir tenir longtemps. Je me laissais tomber en arrière sans lâcher le météorologue. Puis je toucha non, pas la terre, mais l'eau, la mer. Heureusement ce n'était pas assez profond pour que je me noie. Le calme semblait revenu, juste derrière la tête du skypéen, je pouvais revoir les étoiles et même la lune qui donnait à la mer ou nous étions une couleur de vif argent.

Je senti la chaleur du corps de l'ange me quitter. Il avait alors bouger ... dommage j'aurai pu rester comme ça encore longtemps. D'ailleurs c'est ce que je vais faire un peu. Malgré que mon corps sois dans l'eau et que je sente, ma force, ma vie s'écouler peu à peu et disparaître dans les abysse, je me sens plutôt bien. Le ciel est dégager et je peu admirer les étoiles tendit que les sons de la mer et de la nature me berces doucement. Sa dois être tranquille de mourir de cette façon. Je n'aurai cas me laisser glisser jusqu'au fond. A couler et à me laisser emporter sous l'eau. M'endormir une dernière fois, sans haine et sans douleur. Mais ce n'est pas le genre de mort que je veux. Si je dois mourir je veux que ce sois aussi brillant et fort que l’explosion d'un feu d'artifice dans un ciel d'été. Ouais c'était ça mon destin, je n'ai pas le droit de crever ici et maintenant. Hors de question ! Je me retourne et me retrouve, le nez dans l'eau. Buuarf pas agréable du tout, mais j'essaye de me relever, mes bras cherche le sol, première essais. Ok fail !  Deuxième essais et je touche le sable. Utilisant ce qui me reste de force dans mes bras je tente de remonté peu à peu sur la terre ferme.
Je n'aime pas le sable. Il est petit et granuleux, il s'insinue partout où il passe. Dans la coque du bateau, entre les doigts, dans les vêtements, les cheveux et même dans la bouche ou il craque sous les dents. Pourtant la je le trouve salvateur et j'aime son contact. Les souvenirs de la première fois où je suis tomber à l'eau après avoir manger un fruit du démon remonte doucement dans ma mémoire.

C'était après que la marine et les pirates aient détruit le bateau de mes parents. J'avais finit dans un tonneau où ce trouvait le fruit et j'avais dériver jusqu'a l'île de mon maître où j'étais tomber à l'eau au dernier moment. Je ne dois le fait d'être encore ici en vie à celui qui ma repêcher, sinon je serai mort la bas et je n'aurai jamais pu devenir ce que je suis maintenant. Aussi fort, rencontré autant d'ami et avoir la chance de pouvoir accomplir mon rêve. Ouais je dois beaucoup au gens qui m'on sauvé. Mon maître, ma mère. Je ne pouvais pas les décevoir et mourir ici. Je sentais leurs âme dans mon dos me poussant sur la rive comme le vent gonflant une voile pousserait un bateau en avant. Je suis presque arriver quand je ressent quelque chose.
Enfin quelque chose. c'est peu dire. Mon haki de l'observation me montre devant moi un point de haine, une haine pur et brûlante. Le genre de haine qui vous consume tout entier, assombrissant le coeur et remplissant votre tête de pensé encore plus sombre que les bas fond du tartare. Et cette haine viens de personne d'autre que de Ciel. Je la sens me chatouiller les bras alors que des vents ce regroupes autour de moi.

-Nani ?!

Je suis soulever en l'air, porter par l'air qui tourbillonne autour de moi. Une spirale de vent haineux qui déblaye tout sur son passage, une véritable tornade et je me retrouve piégé en son sein. Tout tournait autour de moi, non c'était moi qui tournait emporté par la circulation de l'air. Je pouvais sentir tout la haine de mon ami, elle était forte envahissant chaque molécules de son attaque. Cette haine ce retrouvait dans son vent qui ma compressait les poumons. Je me demandai d'où pouvais bien venir une tel haine, mais ce que je sais c'est que la haine n'apporte jamais rien de bon. Plus je tournait plus je voyais la mort sous forme d'une rafale de vent squelettique ce rapprocher. Ce fut encore plus vrai quand je senti l'eau monté à l'intérieure de la trombe de colère. Mon premier réflexe fut d'inspiré autant d'air possible avant de sentir le liquide salé vidé mes force peu à peu. Je n'avais même plus l'espoir que le vent me sèche et que je puisse utiliser mon pouvoir de téléportation, je sombrais doucement dans les ténèbres de l'inconscient, c'est alors que j'entendit la voix de mon maître. Une réminiscence d'un souvenir d'entrainement. Il m'avait mis en mauvaise posture et j'ai bien cru que j'allais mourir cet fois et c'est quand la pensée d'abandonné ma traverser l'esprit qu'il ma dit ces mots qui resterons graver à jamais dans mon esprit.

-Tu veux abandonné et te laisser mourir ? Tu pense qu'il n'y a plus d’espoir ? C'est faux, il y a toujours de l'espoir, c'est juste toi qui décide si tu veux qu'il sois là ou non. Ta volonté dois surpasser tout ça ! La mort, la nature, les autres hommes, la mer même si les dieux ! C'est comme cela que l'on créer un miracle ... non tu dois devenir quelqu'un qui surpasse les miracles !

Oui ... ces mots m'avaient redonner la force, celle de me calmer et de trouver une parade alors que je suffoquait, je savais comment sortit d'ici. J'allais montré à ce cher Ciel que sa haine, aussi forte soit-elle n'était rien comparé à ma volonté et mon envie de vivre, j'ai un rêve à accomplir, je veux changer ce monde et personne ne m'en empêchera jamais ! J'attrapai ma lance et la fit tourner autour de moi, une technique que mon maître m'avait enseigné, elle tournait de plus en plus vite, toujours plus vite je donnais toute la force de mes muscles la dedans. Puis peu à peu le résultat ce fit voir, emporter par ma lance et les tours qu'elles faisait les courants de la tornade recommence à changer de sens, brisant la colonne d'eau mortel. Mais malgré sa je continuai à la faire tourner la seul résistance s'opposant à ma lance étant celle de l'air, les molécule  en frottement commencère à chauffer enflammant bien vite le bout de la lance. La chaleur ainsi que l'eau avait produit un nuage de vapeur, je me retrouvait maintenant sec et entouré par les flammes de ma volonté. Donnant un coup de lance et stoppant ma ronde frénétique, j'envoyais les flammes volé autour de moi me téléportant juste devant Ciel avec un grand sourire.

-Je suis le capitaine Dooko à la lance ! Et ta haine je vais la détruire !

J'activais mon haki des roi ! Une immense pression ce faisait ressentir sur toute l'île. L'homme devant moi, ce retrouva alors à supporter cela comme s'il devait porté le ciel sur ses épaules à la manière du titan Atlas. Bien vite il s'écroula, vaincu par cette pression. Puis ce fut à mon tour de m'écrouler. La fatigue avait bien vite pris le pas sur l'adrénaline qui m'avait permis de gagner. J'avais la tête sur le sol et je pouvais voir la tête de Ciel dans mon champs de vision.

-Tu est très fort, mais tu ne pourra jamais gagner avec la haine mon ami ... si tu veux vraiment devenir fort, cherche quelque chose à protéger, des amis, une personne en particulier, un rêve ... peut importe, mais c'est en voulant protéger quelque chose qu'on devient vraiment fort ... maintenant je vais ... me reposé  un peu.

Soudains quelque chose ce produisit. Quelque chose de surprenant, le ciel. Pas celui à terre, mais celui au dessus de nos tête devint très sombre. Il faisait déjà nuit, mais le fait qu'ils recouvre la lune, me fit penser que j'étais sous terre, en enfer précisément. La seul lumière qui nous éclairait était celle des éclaires qui roulait entre les nuage. Comme si je n'avais pas du affronter assez de dérèglement climatique comme ça. De plus la température baissait peu à du givre commençait à recouvrir mes cheveux et je tremblais, de froid, mais aussi de peur.

C'est vrai, je l'avoue j'ai eu peur, pendant un moment je suis rester transit sans pouvoir bouger. Puis j'ai vu Ciel. Il fallait que je fasse quelque chose. Je ne pouvais pas laisser mon nakama ici, si la température continuait de baisser il allait finir par mourir. Difficilement je me remis sur mes jambes et souleva mon ami comme je le pouvais, le portant sur mon dos. Je sentais son souffle sur ma nuque et c'était plutôt rassurant ça voulait dire qu'il était belle et bien vivant. Pendant notre combat j'avais aperçut une cavité un peu plus loin sur la falaise, la bas nous serions certainement à l'abris. Plus j'avançais et plus la température baissait. Mes respiration créait de la condensation dans l'air et quelques flocons commençait à tomber du ciel. Voyant ça je me dit qu'il fallait que je me dépêché et essayais d’accélérer le plus possible ramassant des petite branches et des feuilles avant que les intempéries les rendes trop humide.

Nous étions enfin dans la grotte dehors on étendait le tambour du tonnerre, mais pourtant, une énorme tempête de neige faisait rage dehors et la température avait du défoncer le bas du thermomètre. Je déposai Ciel par terre, et fit un feu avec des pierre et ce que j'avais ramasser précédemment. Les flammes était la seul source de lumière et de chaleur que nous avions. Il n'avait plus cas attendre que Ciel ce réveille et arrange tout ça non ? Je m'assis complètement exténuer et frustré par les événements. D'habitude j'arrive a ne pas avoir l'air de me faire prendre de cours par les événement, mais la je m'avouait vaincu, le manque de sommeil plus le combat avait mis a l'échafaud ma bonne humeur naturel. Je me laissais perdre dans les flammes c'était reposant cette lumière qui danse ... apaisant même. Etre le capitaine n'est pas toujours quelque chose de facile, je dois toujours gérer ... faire de mon mieux. Pas de repos pour les braves hein.
Un bruit me fit tourner la tête. L'ange venait de ce réveiller. Un léger sourire orna mon visage pendant quelque seconde pour bien vite disparaître au coin de mes lèvres. Je regardais dans les yeux azur de mon ami. Il avait l'air surpris ... donc ce qui ce passait n'était bien pas quelque chose de naturel. Je poussai un long soupir ... je commençai a perdre les pédale et à dérailler. Sa n'aillait pas, je me sentais faible face à la situation et j'ai horreur de ça. Le regard blasé je m'assis à côté de mon météorologue. Il était en tailleur entrain de léviter et de grelotter ... C'est vrai même moi j'avais froid ici et pourtant j'avais mon manteau ainsi que mes habits pirate. Ciel lui avait l'habitude de voyager torse nu et je pense que la température allait avoir raison de lui si sa continuait comme ça. Retirant mon manteau je lui donna, sans tourner la tête.

-Tient moi je n'en ai pas besoin ... Pas trop étourdit ? ... Dit moi, tu a une idée de ce qui ce passe dehors ? Parce que je ne sais pas ce qui se passe, et c'est pas beau à voir...

J'avais essayer de maîtriser ma voix comme je le pouvais, mais elle avait trembler sur la dernière phrase. Ce qu'il y avait dehors ce n'était vraiment pas naturel et mon haki me faisait sentir que c'était quelque chose d'horrible qui ce passait hors de cette grotte. Histoire de ne pas craquer mentalement je me décidait à changer de sujet, enchaînant directement sur une autre phrases, Ciel arriverait bien à gérer les deux et puis je ne suis pas en état à de penser à ça.

-Tu sais, à propos du combat de tout à l'heure... Tu est très fort certes, mais tu ne pourra jamais gagner avec la haine mon ami ... si tu veux vraiment devenir fort, cherche quelque chose à protéger, des amis, une personne en particulier, un rêve ... peut importe, mais c'est en voulant protéger quelque chose qu'on devient vraiment fort ...

Je vois la situation ... alors la situation était aussi grave que ça. Une immense boule ce format dans mon ventre, une boule de frustration qui pesait lourd, il me semblait à mon tour sentir la pression d'un haki des roi sur mes épaule. Chaque mots sortant de la bouche de Ciel semblait avoir des crocs. Je les sentaient me dévorer le coup. Les mots arrivaient un par un, tous aussi tranchants : "climat dérégler", "rien ne va", "conséquence dévastatrice", "la faute à qui" ... mais je n'avais rien fait comment était-je senser être au courant de ça s'il ne me disait rien.

Je commençais vraiment a avoir du mal a tout encaisser, la boule de mon ventre était venu ce loger à l'intérieure de ma gorge et j'avais même de la tête à déglutir. Mes poings était tellement serrez que je sentais mes ongles rentré dans ma chaire. Puis vint le coup, puissant, furieux, puis le choc contre le sol. Tout résonne dans ma tête et lorsque je peu enfin comprendre les choses clairement en plus de la douleur du coup de poing voila les cris du météorologue. Je reste à terre et le regarde. Tout mon être s'emplie à la fois de colère et de la tristesse, de la rage ... de l'amertume. J'étais déçu, vraiment déçu et en colère. Je me lève le regard sombre et avance vers Ciel, mes ongles on traverser ma chaire et je sens un liquide rouge couler entre mes doigts. je regarde Ciel dans les yeux. Les miens sont noir de colère cette fois c'est moi qui allait hurler, ce que je n'avais absolument jamais fait contre un membre de mon équipage.

-AH OUI ! C'EST MOI QUI SUIS RESPONSABLE DE CETTE HAINE HEIN ! MOI J'AI JUSTE COMBATTU, C'EST SA UN VRAI COMBAT ET SI TU EST PAS CAPABLE DE LE SUPPORTER, ALORS JE VOIS PAS POURQUOI TU EST PIRATE ! TON HISTOIRE COMMENT TU VEUX QUE J'EN SACHE UN TRAÎTRE MOT TU NE M'EN A JAMAIS PARLER ET C'EST SUREMENT PAS DE CETTE FAÇON QUE JE VAIS EN SAVOIR PLUS ET PUIS ... ET PUIS MOI JE... et puis va te faire voir ...

Mes derniers mots n'avait été qu'un murmure cette fois sans était trop, j'avais hurler contre un de mes nakama, dit des mots qui me faisait mal a moi même ... je me détournait de Ciel, avançant sans un mot et sortant de la carverne remplis d'air chaud pour trouver l'air froid de l'extérieure, pourtant ce n'était pas lui qui me faisait trembler. Une fois sortis j'éclata. Je hurlais, du plus fort que je pouvais et abbatait mon poing contre la roche, une fois, deux fois, trois fois ... jusqu'a ce que j'entende mes os craquer ... voila j'avais la mains casser et je tombais à genoux des larmes coulaient sur mes joue.

-PUTAAAAAAAAIN !

J'avais mal ... a la main, dans tout le corps, mais surtout au coeur. Mes nakama ... ils représentent tout pour moi, ce sont eux mon moteur, je suis fort parce qu'ils me motive et me donne la joie qui me permet d'avancer, mais aujoud'hui ce moteur venait de tomber en panne d'être briser en mille morceaux. C'était plus que je ne pouvais en supporter, surtout de la part de Ciel, le premier membre de mon équipage non, il était plus que ça .... le première ami qui je m'étais fait en devenant pirate. J'avais l'impression qu'une partie de moi c'était écrouler ... Avais-je tant mal agis ? Non ... j'étais en colère contre lui, mais j'étais aussi triste de tout ce qui venait de ce passer et comparé au tourbillon de sentiments qui faisait couler mes larmes la tempête qui s’abattait sur mon dos me semblait dérisoire c'est alors que je le vis sortir. Ciel ... je n'osais plus l'appeler mon météorologue même pour moi même, ma main me faisait mal pourtant je resta impassible pendant qu'il passa, mon visage restait fermer comme une pierre tandit qu'a l'intérieure, le chaos le plus total régnait en seul maître. Je le vis s'envoler .... alors c'était comme ça ... il partait, il rentrait chez lui sur Skypea. Non pas possible, il ne pouvait pas partir comme ça. Il avait des compte a me rendre. Cette fin la n'était pas possible et je ne l'accepte pas. Non je ne l'accepterai jamais.

-Jamais ...

Je fermais les yeux et me concentrait sur mon haki de l'observation, essayant de laisser la douleur physique et émotionnel de côte. Je cherchais Ciel, sa position ... oui il était bien sur les îles célestes. Sans même que j'en donna l'ordre a mon corps je me retrouva téléporter. Sur une véritable mer de nuage où l'on pouvait marcher, ce mouvoir, j'avais déjà entendu parler de ces îles, mais c'était la première fois que je les voyais vraiment et que je foulais leur ... sol ? Il y avait aussi Ciel juste devant moi je savais qu'il m'avait entendu venir, mais je ne lui ferrai pas le plaisir de lui adresser la parole et je continuai de marcher sur son rythme tout en le foudroyant du regard, je ne pouvais voir que son dos et c'était tant mieux. Je craignais une autre explosion si je croisais son regard.

Je me contentai de marcher, suivant l’ange, en mode pilotage automatique. Je sentais ma main me lancer. A chaque fois que je la bougeai ou même que j’essayais de faire un mouvement avec mon bras. Vraiment bien casser … je me demandai si je pourrai réutiliser ma lance avec un jour, mais ce n’était pas sa le pire, mon cœur me faisait mal aussi à chaque fois que je regardais Ciel, Ciel ou l’île en elle-même. Autant l’un que l’autre étaient marqués par des cicatrices occasionné par l’apocalypse météorologique qui avait pris possession de l’atmosphère. Les mots dits par mon nakama résonnait encore dans ma tête … C’était vraiment de ma faute tout ça ? Méritais-je encore d’être appelé capitaine ou même ami après ce qu’il c’était passé, je ne pensais pourtant pas être dans l’erreur, je n’avais jamais voulu de mal et jamais je n’aurai pu prévoir comment les choses tourneraient. Je serai les poings ce qui m’arrachai un grimace, presque un cri.

Devant moi ce dressait deux immense portes en forme d’étoiles. Ciel semblait les avoirs traverser facilement, je le suivais toujours à bonne distance. Sans être trop loin pour le perdre de vue, mais pas assez proche pour que je puisse le regarder dans les yeux, ça je ne crois pas que je pourrai le supporter. Alors que je m’apprêtais à franchir ses barrière une vielle femme, avec des ailes elle aussi prouvant qu’elle était originaire de l’île me demanda un payement. 100 000 berrys exactement. Je fouillai dans ma poche et lui tandis, une bourse, il avait surement plus que le compte la dedans, mais je m’en foutais royalement, je n’avais pas envie d’adresser la parole à qui que ce soit alors qu’elle prenne l’argent et la ferme juste. J’entais et continuai ma marche, me téléportant quand le skypéen s’envolait pour ne pas le perdre de vue. Ce que je vis me retourna le cœur. Tout était dévasté. Une énorme boule ce forma à nouveau dans ma gorge et je retenais des larmes qui montaient me brûlant les yeux. J’avais déjà entendu des descriptions des îles célestes et je les avait toujours vus comme un endroit magnifique, éclatant de blancheur et de luminosité, mais là c’était une vision de la mort en personne que j’avais devant mes yeux. Tout n’était que nuance de gris et parmi le vent volait des débris de toute sorte … J’avais le cœur serrer et je m’assis quelque seconde pour reprendre mon souffle alors que l’ange c’était endormi. Si c’était vraiment moi qui avait déclenché tout ça, alors je ne pense pas que je méritais d’être appelé capitaine ou même Pirate.
Je le regardais dormir … il avait l’air paisible … sa me rassurai, pendant un moment j’hésitai même à partir et à le laisser ici, après peut-être était-ce le mieux à faire … mais la voix à l’arrière de mon esprit me murmura qu’il fallait que je reste, que même dans le déshonneur je ne pouvais pas abandonner Ciel. Alors moi aussi je m’endormi et tout comme Ciel je fus réveillé par un vent fort qui soufflait dans mes oreilles. Alors tout cela n’était pas un rêve hein … sa aurai été trop beau.

Puis quelque chose me frappa, enfin quelqu’un, il y avait quelqu’un devant mon ex-météorologue. Un homme qui avait l’air bizarre. De l’endroit où j’étais placer je ne pouvais le voir alors je me décidai à me rapprocher d’eux. Je fis quelque pas puis je stoppai net, une expression horrible sur le visage. Je n’avais jamais ressenti cela avant. C’est comme si mon propre Haki avait tiré toute les sonnettes d’alarmes. Ce type c’était la mort. Pur et simple. C’était comme si mon cerveau m’empêchait d’avancer. Tout dans mon corps, chaque cellule chaque molécule me hurlait la même chose « Fuis, ou tu vas crever ». Pourtant je ne fuis pas, et je restais juste figer là à les regarder.

Je pouvais voir toute la scène d'ici, mais j'étais toujours tétanisé par la peur. Bouger le moindre petit doigt m'étais alors complètement impossible. Ce type ne se tenait pas si loin de moi, pourtant, j’avais l’impression que du point de vue de la puissance pur il se trouvait à des années-lumière de ma personne. Mais tout changea lorsqu’un cri déchira les îles célestes. Celui de Ciel. L’homme, Ener visiblement d’après le nom que j’avais entendu venait d’attaquer. Ce cri … charger d’une telle douleur m’avait sorti de ma stupeur. Devant moi, mon ami était en train de se faire attaquer et pourtant je tremblais comme une feuille. J’aurai du me jeter sur lui mais mes jambes refusaient complétement d’avancer et la petite voix dans ma tête me murmurait « Aller fuis ! Laisse-le ici et cour, sinon tu ne pourras jamais réaliser tes rêves ! » Pourtant. Je n’allais pas écouter cette fois, je portais ma main casser à ma bouche et la mordit du plus fort que je pouvais, jusqu’à ce qu’un gout de fer et un liquide de couleur rouge aient emplis ma bouche. La douleur m’aidait à réfléchir calmement et empêchait mon cerveau de se focaliser sur la peur. Tant pis pour mes rêves, même si je dois mourir ici en essayant de sauver le skypéen, je m’en fichais complétement, cet Ener, ce prenait vraiment pour un Dieu, mais il n’en était pas un, il était à la rigueur la personnification du diable, mais il n’avait rien de divin, il était juste horriblement fort et puissant.

Attrapant ma lance de ma main encore valide, je m’élançais devant l’homme. Toute la colère et la frustration que j’avais endurées dans les moments passés, je m’en servais pour avancer. Elle donnait de la force à mes muscles au moins autant que l’adrénaline qui commençait à monter. Je luttais contre les vents pour courir vers ma mort. Je savais qui en était l’instigateur. Ciel lui-même ! L’ange devait encore m’en vouloir. Je le savais, il me détestait surement maintenant, voir me haïssait, mais tant pis je devais quand même le faire. J’arrivais devant l’homme à l’allure étrange et la rage dans les yeux, une volonté nouvelle dans le cœur, serrant fermement ma lance je lui dis.

-Hoy, toi le faux-Dieu ! C’est moi le responsable de tout ça ! Alors essaye de me tuer moi plutôt !!

L’homme leva à peine les yeux sur moi, ce qui me donna la ferme impression d’être un insecte. Oui il ne me considérait pas plus qu’une araignée à écraser sous son pied alors qu’elle se présentait à lui.

-N'essayes même pas de t'interposer. C'est à cause de toi que tout cela est arrivé. Subis le jugement Divin !!

La rage montait encore en moi à cette phrase. Je ne pouvais pas supporter ce type, il était tout ce que je détestais de plus, un simple tyran qui assoit son règne par la peur. Il n’était pas un Dieu. Même pas un démon, juste un homme, un homme qui avait ingérer un fruit du démon, lui donnant le pouvoir d’asservir les autres.

-Jugement Divin ? Tu n’es pas un Dieu ! Et même si tu en étais vraiment un, je me dresserai quand même contre toi !

Sans même porter attention à mes paroles il leva un doigt et un éclair fila en ma direction. Instinctivement je me téléportai sur la droite pour l’esquiver, mais je n’eus même pas le temps de penser qu’un autre éclair s’abattit sur moi. Le plus grand que je n’ai jamais vu. Comparé à ça, ceux que j’avais endurés là bas faisait figure de pétard mouillé. Je hurlais alors que la douleur avait envahi tout mon corps et que je tendais la main vers mon ami. Je devais le sauver coute que coute.

-Je suis un Dieu, maintenant meurt.

Puis plus rien, une tel puissance ce déversa dans l’éclair mon cerveau avait dû griller. Je ne sentais plus rien d’autre que le noir qui envahissait ma conscience. Les doux bras de la mort m’emportaient à elle. Je ne peux que crier mentalement le nom de mon ami avant que tout ce finisse.

[H-RP]:

Voilà, je suis mort, j’ai passé l’arme à gauche, ad patres, bref, je mange les pissenlits par la racine. Comment c’est arriver ? Bon je vais le rappelez pour ceux qui dormais au fond. Je me suis fait tuer par Ener, un type qui règne sur l’île de skypéa en tyran grâce au pouvoir de son haki de l’observation et de son logia de la foudre. Comme si je n’avais pas été assez foudroyé ces derniers temps hein.

Qu’est-ce que ça fait d’être mort ? Oubliez toutes ces images de paradis, ou bien d’enfer que vous avez en tête. Pas de grand type barbu en toge, pas de mec rouge à cornes équipé d’une fourche dans une grande étendu de flamme. Juste l’obscurité, le noir le plus complet. D’une telle épaisseur qu’il semble vous aspirer. D’une telle intensité que je ne pouvais même pas voir mains, si mains j’avais encore. Les ténèbres semblaient tout remplir, même le son, ne se propageait pas et autour de moi il n’y avait que  le vide du silence.
Je commençais à désespérer et à me dire que j’allais devoir rester dans cet endroit pour l’éternité quant au loin, une lumière déchira l’obscurité, comme si quelqu’un avait allumé une bougie à l’horizon. Au départ je crus que c’était ma fameuse « lumière » que l’on voit quand notre temps est écoulé, mais bien vite je me suis souvenue que la mort, n’est jamais ce que l’on croit. Après avoir marché ce qui me semblait être des heures, si la notion de temps existait bien ici et si j’avais vraiment encore des jambes pour marcher car je ne sentais aucune terre ferme à foulé, je suis arrivé devant la source de la dite lumière. Une femme, plutôt jeune au bras blanc, De long cheveux châtains l’entouraient et des yeux ambes rappelant étrangement les miens était rehausser par un grand sourire qui vivait sur son visage. C’était elle qui brillait, entouré par un halo. Elle portait une longue robe de mousseline couleur crème, elle avait en tout point l’air d’un ange et elle m’inspirait un immense sentiment de nostalgie.

-Ka-san …

Je ne pouvais pas en croire mes yeux, ma mère ce tenait la devant moi, comme la dernière fois que je l’avais vu, sur le bateau familial avant qu’elle … ne meurt. Je mis un petit temps d’adaptation avant de comprendre que moi aussi j’étais mort à présent et qu’il était donc normal que je la revois.
Elle ouvrit ses bras et je l’enlaçai. Sa peau était si douce et son contact familier, je sentais de la chaleur émaner d’elle remplir mon corps peu à peu.

-Ce n’est pas encore ta place, kokoro-kun.

Sa voix, sa voix si douce et son parfum, une légère odeur de vanille. Enfouis dans son cou, je pleurai lentement, comme un enfant, comme l’enfant que j’étais redevenu. Un enfant qui n’avais pas vu sa mère depuis presque une dizaine d’année. Derrière elle, je vis une autre lumière ce former. Un homme apparut, assez grand et large d’épaule, les cheveux bruns taillés comme les miens et deux yeux marrons. Il avait la tenue habituelle pour partir pécher, celle qu’il avait la dernière fois lui aussi. Il partit de son rire bourru et me dit que les hommes ne devaient pas pleurer.

-To-san

Mon père, ma mère les deux étaient ici et ils remplissaient ce monde d’obscurité d’une chaleur douce et rassurante. J’avais retrouvé, mes bras et mes jambes, toute cette sensation qui était lié indéniablement à la vie. Comme si toute la douleur subit avant avait été effacé, disparu, tout cela n’avait jamais existé et n’était qu’un doux rêve. Une dernière lumière me ramena à la réalité. Oui il était logique que dans la mort, les trois personnes que j’avais le plus aimé au monde soit là. Ma mère, mon père et enfin, l’homme qui m’avait recueilli alors que je n’étais qu’un enfant orphelin rejeter par la mer elle-même, maudit par un fruit du démon, qui ma élever, fait grandir, devenir  fort, comme l’aurai fait un véritable père.

-Sensei !

Mon maître ce tenait là aussi, il n’avait pas changé d’un poil, ses vêtements noir et bleus, sa queue de cheval qu’il gardait toujours très soigner, même après les pire batailles. Il avait un regard sévère comme toujours et je sentais ses yeux bleus pénétré au plus profond de mon âme lisant en moi comme dans un livre ouvert à travers ses petites lunettes carrés. Il allait me réprimander, je le savais, je le connaissais si bien et cette remontrance je l’attendais, je savais ce qu’il allait me dire.

-Alors qu’est-ce que tu fais à perdre ton temps ici ?! Et puis tu n’as pas honte ? Te faire vaincre par un minable de seconde zone qui ce fait passer pour un dieu et laisser ton Nakama en mourant d’une manière pathétique !

Un grand sourire ce propagea sur mon visage alors que sa voix ferme et posé me remontait les bretelles. J’en avais l’habitude. Mon maître était ce genre de personnes, il peut paraitre froid au première abord, mais ce révèle avoir un grand cœur et être près a tout pour protéger ses proches. Oui, je devais aller sauver Ciel. La perspective qu’il meurt n’était pas acceptable, même si je me sentais bien ici, entouré des gens que j’aimais, moi j’étais belle et bien vivant et je les reverrai à nouveau, quand mon heure sera vraiment venu. Ils me souriaient tous et la lumière qui les entourait grandit, m’englobant moi aussi, peu à peu je sentis le rythme de la vie reprendre en moi, les battements de mon cœur, ma respiration. Fermant les yeux je leurs dit adieu une dernière fois.

-Ka-san, To-san, Sensei …. Sayonara.


Quand mes yeux ce sont ouvert à nouveau, j’étais sur skypéa. Toujours au même endroit où l’on m’avait laissé pour mort. Je me relevais doucement, utilisant ma lance comme une canne. J’avais l’impression d’être dans un autre endroit. Aussi beau qu’on me l’avait décrit. Les nuages nous entouraient et le ciel avait l’air d’un bleu plus intense. Mais ce n’est pas le moment de s’intéresser au ciel, enfin si, mais pas celui-là. Fermant les yeux, je me concentrai, utilisant le peu de force qu’il me restait pour trouver l’ange avec mon Haki. Après 5 bonne minute, je le localisai, il était amoindris et on ne pouvait presque plus sentir ça force vital. Je me hâtai la plus possible pour aller le retrouver. Il était là, sur le sol, étendu de tout son long sur une falaise ou le soleil était en train de se coucher enflammant le ciel de pourpre. Je me penchai pour prendre le pouls de mon ami, mais alors que je posai mes doigts sur lui une gerbe d’étincelle vint lécher ma main. Décidément je pense que je vais arrêter la piraterie pour devenir paratonnerre… Enlevant ma cape, j’enroulais le skypéen à l’intérieure et le soulevait. Bon maintenant que je pouvais le porter sans finir griller, il fallait que je trouve où aller. Je ne savais plus où était le bateau à cause de la tempête il avait dû dériver assez loin. Je ne voyais qu’une île, une île qui me rappelait elle aussi beaucoup de souvenirs. Dans un flash de lumière l’ange et moi avions disparu des îles célestes, très loin de toute l’horreurs des combats.

-Ka-san, To-san, Sensei … Okaerinasai.

Nous étions sur une petite île,  il y avait une immense forêt qui la remplissait presque entièrement et la seule habitation était une grande cabane en bois. Nous nous tenions devant celle-ci et plus précisément devant trois tombes. Des stèles de forme rondes, c’était ici que j’avais fait le deuil de mes êtres chers et c’était aussi ici que j’avais grandi et vécu avec mon sensei. Je poussais la porte de la cabane, pas facile quand vous avez une personne inconsciente dans les bras, mais je réussi quand même après trois essais. Une fois rentré, je posa mon ange sur le lit qui se présentait à moi, ce lit, c’était le lit ou j’avais dormis, grandit, rêver. Je souriais alors en me rappelant toute les nuits, surtout celle de tempêtes, nous n’étions pas toujours à l’abri ici et j’en avais eu très peur. Je regardais Ciel, il semblait dormir paisiblement, mais j’étais toujours inquiet pour lui, avançant doucement ma main je lui posai sur le torse. Bien  cette fois pas de gerbe d’étincelles et son cœur semblait battre à un rythme plutôt régulier. Ayant eu une idée, je sortis de la cabane en lançant à mon ami pourtant endormi.

-Repose toi bien je reviens bientôt.

Puis je sortis faire le tour de l’île. Je m’étais souvenu que quand j’étais souffrant, mon maître me préparait un remède avec des plantes médicinales que l’on peut trouver ici. J’étais donc en train de chercher ses plantes dans toute l’île, je n’avais aucun mal à les reconnaitre tellement mon souvenir était gravé dans mon esprit. Une fois revenu je me mis pour une fois au fourneau ! Ce qui dans le bateau n’arrive jamais à cause de mes piètres connaissances culinaires. Pourtant peu après j’avais préparé le remède qui ressemblait beaucoup à une soupe, il sentait bon, une odeur d’épices et de feuilles de lauriers. Maintenant épreuve numéro deux ! Le faire boire à Ciel toujours inconscient. Poussant un long soupir, je mis une chaise à côté du lit et m’assis, passant un bras sous l’endormi pour le soulever un peu. Avec mon autre main je lui faisais boire la mixture faisant attention qu’il ne s’étouffe pas. J’espérais que le remède allait vite le faire aller mieux, j’étais vraiment inquiet et je ne savais pas ce que cette Ener avait dû lui faire subir. Une chose était sûre, ce type j’allais me le farcir et je jure de l’occire sur mon drapeau de pirate ! J’étais sûr que le fait que le temps soit redevenu vivable était dû  à mon ami … le pauvre devait être épuisé. Tout comme moi d’ailleurs, je commençais à chanceler et à piquer du nez, emporté par la fatigue je m’écroulai, juste à côté de mon Nakama, dormant moi aussi d’un sommeil de plomb.
Le lendemain, je fus doucement réveiller par la lumière du soleil sur mon visage, elle filtrait à travers l’une des planches de la cabane. M’étirant de tous mes membres je pu constater que l’ange était toujours dans les bras de Morphée. Il m’arrivait parfois de dormir pendant des semaines que je me surmène dans l’utilisation de mon fruit, comme quand je téléporte le bateau entier avec tout l’équipage par exemple donc je pensais que mon ami allait lui aussi dormir un petit bout de temps. Que faire en attendant qu’il se réveille ? Réfléchissant, tournant en rond, je vis une photo sur le bureau. On pouvait y voir mon sensei et moi, en vacances sur une île voisine. Voilà je s’avais ce que j’allais faire pendant tout ce temps ! M’entrainer.
Et ce fut une routine qui s’installa sur une semaine. Je me levais, préparait du remède pour Ciel, puis j’allais m’entrainer. Le septième jour ce passa aussi de cette manière.

-Bon, je vais m’entrainer ! Je reviens !

J’avais pris l’habitude de parler à Ciel, comme s’il était réveillé, sa peu vous paraitre idiot, mais je vous répondrais que certain parle bien à leurs chats ou leurs fleurs alors je ne vois pas pourquoi je ne parlerai pas à mon ami endormi/dans le coma (?). Premièrement je commençais par m’échauffer, faisant le tour de l’île une trentaine de fois, puis je faisais des séries de pompes et d’abdos pendant une heure.
Cet échauffement terminé, j’avais retiré mon t-shirt trempé de sueur, découvrant les poids que j’avais aux bras et aux pieds. 60 Kg chaqu’un. Autant vous dire qu’au début je faisais deux pas et je m’écroulais sur le sol faisant le tour de l’île en rampant. C’est dans ces moment-là que j’étais heureux que ciel pionce [Depuis 7 jours quand même ! ] et qu’il ne me vois pas dans une position aussi déplaisante.

Bon dernière partie de l’entrainement, depuis une semaine j’essayais de maîtriser une technique puissante que mon maître m’avait montrée, mais que je n’avais jamais réussi à faire. Le Hakai Meimakyu. Je me souvenais de son explication alors qu’il venait littéralement de rasé une montagne avec cette technique.

-La puissance de cette attaque vient de ta vie elle-même, tu concentre toute ton énergie, contenu dans chaqu’une de tes cellules dans un seul point et tu la libère ensuite.

Bon aller il est temps d’essayer. Imitant les gestes de mon maître, je mis mes pieds bien à plats, parallèles, écartant un peu les jambes. Puis je me concentrai pour faire le vide dans mon esprit, je  n’entendais plus rien que le bruit des vagues autour de moi, j’étais face à la mer et je la laissais me bercer pour chasser toute pensé de ma tête. Puis tenant ma lance avec les deux mains je commençai à la faire tourner devant moi, doucement. A voix haute je comptais le nombre de tours.

-ichi, ni, san, yon, go ….

Au bout d’un moment je senti l’énergie, je me concentrai sur elle, sur toute la force contenu dans mes cellules et qui faisait que j’étais quelqu’un de vivant, je la sentais partir de mes mains jusqu’à la lance, des petites bulles bleu, de l’énergie ce formait sur son sillage. Maintenant il fallait que je  réunisse toute la puissance autour de moi dans la pointe de la lance ; arrêtant mon mouvement circulaire, je reculai ma lance derrière comme si j’allais frapper et toute l’énergie qui flottait autour ce concentra dans la pointe. C’était toujours à ce moment-là que je ratais ma technique. Il faut trouver le bon moment pour la lancer sinon et bien toute l’énergie emmagasiner vous saute joyeusement à la gueule.
Je me concentrai sur mon haki de l’observation, je devais trouver le bon moment, devant moi la mer, infinie étendu aquatique. C’était le moment ! J’envoyai ma lance en avant, comme pour donner un coup d’estoc et toute l’énergie partie vers l’avant dans un grand rayon bleuté fendant la mer en deux. J’avais réussi ! Pour la première fois à utiliser la dernière technique que m’avait laissée mon cher maître ! J’étais heureux ! C’est une technique puissante, mais elle a beaucoup de défaut encore, elle est trop longue à préparer sur un champ de bataille je n’aurai jamais le temps de l’utiliser et puis je pense pouvoir l’utiliser 2 fois pas plus avant de tomber mort de fatigue.


Un bruit me sorti de mes pensées, il venait de la petite cabane en bois, mon cœur tressaillit, ça ne pouvait dire qu’une seul chose ! Ciel était de nouveau opérationnel, je courus jusqu’à la cabane ouvrant la porte en vitesse et me jetant au cou du météorologue. Mon ami était enfin réveiller après tout ce que nous avions eu a traversé et la colère que j’avais envers avait été comme lessiver par la tempête que nous avions enduré, comme la pluie diluvienne et pleine de pitié qui efface toute trace du champ de bataille.